Qu'est notre vie, sinon un rêve?

|-Nom & Prénom : Jired Alice.

|-Surnom : A vous de voir. Mais n’écorchez pas trop son prénom, elle n’aimera pas ça.

|-Âge & Date de Naissance : née un 29 juin, elle a 11 ans depuis peu.

|-Orientation sexuelle : bisexuelle. Mais bon, elle est encore un peu jeune pour ça.

|-Nationalité : Anglaise.

|- Vœu de départ : "Je souhaiterai pouvoir contrôler les rêves à ma guise. Créer ce que je veux créer, détruire ce que je veux détruire. Devenir maîtresse de mon monde et de celui des autres. Oui, c’est ça ; je voudrais devenir la reine du monde des rêves."

|-Couleur : Bon…alors en tout théorie…elle est blanche. Etant donné qu’elle ne se rebelle pas le moins du monde. Elle est même très heureuse ainsi. Mais elle n’aime pas participer à l’échiquier, car cela nécessite de rester éveillé un sacré bout de temps. Cela ne m’étonnerait pas qu’elle « sèche » les parties pour aller faire un somme…

|-Rang désiré (celui que votre personnage cherchera à atteindre) : Elle s’en fiche royalement.

|-Rang actuel (à faire valider par un admin) : Pion, probablement, étant donné qu’elle ne fait rien pour que cela ne change.

|-Mental : Alice n’est pas quelqu’un de bon. Alice n’est pas quelqu’un de mauvais. Alice n’est pas quelqu’un d’indifférent. Alice est juste Alice, et c’est déjà bien assez compliqué comme ça.

Alice est une rêveuse. Son imagination ne semble connaitre aucune limite et elle se plait à créer des mondes. Mais en dehors des rêves, elle ne semble pas réellement vivante. Elle marche, elle mange, elle parle, mais son esprit est ailleurs. Elle parait bien souvent froide envers les autres, et beaucoup s’accordent à dire qu’elle ne ressent aucun sentiment. C’est faux. C’est vrai. Alice est complexe, difficile à cerner. Elle aime rire. Mais elle n’y arrive pas. Ce n’est que dans les rêves que son regard s’illumine et qu’un sourire, quoique tordu, fait son apparition sur ses lèvres. Alice est folle. Née d’une mère folle, d’un père fou, d’un monde fou. Elle n’avait pas d’autre choix que de le devenir à son tour. Elle est logique et illogique à la fois. Pour elle, rien n’est impossible quand on y croit suffisamment fort. Ses rêves sont étranges et partent dans tous les sens ; un instant sous un arbre dans les nuages, puis une seconde plus tard au fond d’un océan de larmes. Ses cauchemars sont dangereux, ils vous entrainent en enfer. Pourrez-vous en sortir ? Le réveil n’est pas toujours acquis…n’oubliez pas qu’Alice contrôle vos rêves et qu’elle peut se montrer très capricieuse quand elle s'amuse...

|-Défauts : : -Bien souvent, elle parait insensible. Si vous avez besoin d’aide, elle ne vous aidera pas tant qu’elle n’y verra pas un intérêt. Son esprit, en opposition à sa manie de rêver, possède sa propre logique; et il est rare qu’elle éprouve des sentiments prêts à obscurcir son jugement. Elle ne comprend d’ailleurs pas la plupart des sentiments humains. C’est une je-m’en-foutiste assumée et dans la réalité, elle ne se mêle pas de ce qui ne la regarde pas. En clair, cela signifie que si vous agonisez sous ses yeux, elle se contentera de passer son chemin, sauf si vous avez quelque chose à lui offrir en échange de son aide. Après tout, pour quelle raison devrait-elle vous aider sinon ?
-Alice aime s’amuser, comme tous les autres enfants, mais ses « jeux » sont assez différents. Dans ses rêves, elle aime tout contrôler, et parfois transformer ceux des autres en cauchemars peut se révéler très amusant…
-La jeune fille a la mauvaise habitude de s’endormir à n’importe quelle occasion. Dans certains cas, c’est même arrivé en plein milieu d’une discussion…et une fois dans les bras de Morphée, difficile de la réveiller.

|-Qualités : : -Elle est intelligente et très réfléchie ; sa logique n’est pas forcément qu’un défaut.
-Elle est très directe dans ses propos, et il est rare qu’Alice mente à quelqu’un, surtout si elle n’en voit pas l’intérêt. Si elle vous fait une promesse, alors elle la respectera.
-C'est une enfant très polie, tout du moins dans la réalité.
-Et plus que tout, elle ne critiquera jamais, jamais vos rêves, quels qu’ils soient.

|-Phobies & Complexes : Elle souffre de cynophobie, ce qui signifie qu’elle a une peur panique des chiens. Sinon, elle n’a pas vraiment de complexes.
|-Apparence : Alice est une enfant de onze ans bien trop maigre pour son âge. Des années de malnutrition lui ont donné un corps fragile et l’on dirait qu’un simple coup de vent pourrait le réduire en éclats. Son arrivée dans le monde d’Alpha lui a sauvé la vie, car elle ne manque pas de nourriture ici-bas, mais elle reste très mince. Elle a des cheveux lisses et châtains qui lui arrivent jusqu’au épaules et de grands yeux verts difficiles à déchiffrer. Alice ne sait pas sourire correctement. Personne ne lui a jamais apprit comment faire. Dans la réalité, vous ne la verrez pratiquement jamais quitter une expression indifférente, voir même ennuyée. Mais si vous la croisez dans vos rêves, elle paraitra beaucoup plus vivante, et si elle s’amuse, alors vous apercevrez un sourire tordu et un peu effrayant naitre sur ses lèvres. Alice ne change pas souvent de vêtements et garde souvent cette robe et ce tablier volé à l’époque où elle vivait dans la rue. Bien que différents (les manches sont rayées, la couleur, bien plus sombre, n’est pas la même…), ils lui font penser aux habits de la vraie Alice, celle qui voyagea au pays des merveilles. Elle les aime énormément.
On pourrait dire qu’Alice est mignonne. Mais on ne le dit pas. Elle semble bien trop sérieuse pour son âge, et aucun sourire « normal » de vient jamais éclairer son visage. Ses yeux sans éclats ou brillants de folie sont plus effrayant qu’autre chose, et on la qualifie plutôt de sinistre. Enfin, c’est à vous de vous forger votre propre avis après tout…

|-Personnage sur l'avatar : Alice de American Mcgee’s Alice. (Gjred, zerochan.)






|-Histoire :

« Tu pleures, Alice ? »
« Non. Quel est l’intérêt des larmes ? »
«Je ne sais pas. Peut-être est-ce un appel à l’aide que les gens lancent afin que quelqu’un remarque leur souffrance.»
« C’est idiot.»
« Pourquoi ? »
« Mon père est partit avant ma naissance. Ma mère a plongé dans l’alcool, me frappait en me tenant responsable de son malheur, et a finit par m’abandonner. Je vis dans la rue et je n’ai plus que la peau sur les os. Et pourtant, je ne pleure pas. La souffrance est à mes côtés, et ce depuis toujours. Elle est comme une veille amie, tu sais. C’est la seule qui ne m’abandonnera jamais.»

C’est l’histoire d’une petite fille que personne n’a jamais désirée. Elle n’avait pas de prénom. Sa mère n’a jamais voulu lui en donner. « Toi », « sale gamine », «déchet », voilà les seules appellations qu’elle recevait. Mais à l’âge de cinq ans, elle est tombée sur un livre. Celui qui allait, l’espace d’une lecture, faire battre son cœur qui n’avait jamais vraiment eu l’occasion de démarrer. Celui qui la fit se sentir vivante le temps d’un rêve. Celui qui lui donna un nom, un vrai, le sien. Alice.
Alice n’était pas comme les autres enfants. Et ce, sur de nombreux points. Elle n’avait pas de père à proprement parler. Son géniteur était partit en apprenant son existence alors qu’elle n’avait même pas encore ouvert les yeux sur ce monde. Sa mère la battait depuis qu’elle savait parler. C’était une alcoolique qui avait oublié la sensation d’être sobre ; le corps d’Alice est encore marqué par ses accès de folies. Mais surtout, ce qui faisait sa différence, c’était son intelligence. Bien trop grande pour un enfant de cet âge-là. Elle avait apprit seule ce que d’autres mettaient des années à retenir, bien qu’elle n’ait jamais foulé les bancs d’une école. Loin d’être naïve, elle posait un regard juste et étrangement lucide sur le monde qui l’entourait.

C’est probablement pour ça que le jour où sa mère l’abandonna, elle ne ressentit rien d’autre qu’une grande lassitude.

Alice avait comprit depuis bien longtemps que sa mère ne l’aimerait jamais ; ses espoirs avaient été détruits avant même d’être réellement nés. Chaque jour qui passait, les coups se faisaient de plus en plus violents ; selon la logique, soit sa mère aurait finit par la tuer, soit elle se serait étouffé dans son vomi, soit Alice l’aurait tuée elle-même, ou soit la fillette aurait finit par être abandonnée. Finalement, ce fut ce dernier scénario qui fut le bon. Dès l’instant où sa mère s’était mise à sourire, elle avait comprit que quelque chose ne tournait pas rond. Une virée au parc d’attraction pour fêter son dixième anniversaire ? Ses propos mielleux sonnaient faux et elle devinait la haine qui s’y cachait. Mais elle la suivit sans faire d’histoires. Et quand sa mère la laissa sur un banc en lui promettant de revenir rapidement, chose qu’elle ne ferait bien évidemment jamais, la petite fille ferma les yeux.

Et Alice rêva d’un autre monde.

Quand elle se réveilla, elle était toujours sur ce même banc. La nuit était tombée depuis des heures et un froid mordant l’enveloppait. La fillette était en colère ; elle aurait souhaité ne jamais émerger de son rêve. Il était merveilleux. Dans ce monde-là, Alice savait sourire. Les fleurs pouvaient parler, les animaux étaient vêtus comme des humains, le soleil chantait du matin au soir, la lune partageait un silence avec elle, et des fous l’avaient invité à prendre le thé sous l’arbre aux roses. Mais la réalité était là, désormais. Et bien qu’elle n’ait qu’une seule hâte, se rendormir, son corps ne lui criait une seule chose: elle avait faim.
N’ayant nulle part où aller, Alice décida de s’installer dans la rue. Elle aurait certes pu aller dans un orphelinat, mais n’en avait pas la moindre envie ; elle n’avait jamais aimé les autres enfants de son âge. De plus, il restait la possibilité qu’on la renvoie chez sa mère. Elle erra donc à travers les ruelles pendant des heures et vola au passage quelques fruits sur un marché. Elle trouva ensuite un vieil entrepôt désaffecté envahit par les rats et s’y installa. Par chance, il y avait un vieux matelas sur le sol, bien qu’en très mauvais état. Sans se soucier de savoir s’il était propre ou non, elle s’y allongea, et plongea de nouveau dans le monde des rêves.

La jeune fille vécut ainsi pendant longtemps. Des semaines, des mois, des années ? Elle n’en avait aucune idée. Juste « longtemps ». La plupart du temps, pour échapper au froid et à la faim, elle dormait. Dans ses rêves, tout était plus beau ; le monde qu’elle inventait était dépourvu de laideur. La nourriture y abondait, le froid n’existait pas, les oiseaux dansaient avec elle et les lapins l’invitaient à leurs parties de cache-cache. Chaque réveil était plus dur que le précédent et bien souvent, elle se prit à souhaiter un sommeil éternel. Il arrivait aussi qu’elle fasse des cauchemars ; un monde noir, des poupées défigurées, des monstres près à lui arracher la tête à la moindre occasion. Et pourtant, elle les préférait encore au monde réel. Alice s’amaigrissait à vue d’œil; le manque de nourriture faisait qu’elle n’avait presque plus que la peau sur les os. Elle flottait désormais dans des vêtements devenus trop grands, et du même en voler quelques-uns qui séchaient dans le jardin de leur propriétaire. Elle réussit également à prendre un exemplaire d’Alice au pays des merveilles à quelqu’un, ce fameux livre qui lui avait offert son premier rêve en même tant que son nom. Mais quand elle ne volait pas, Alice rêvait.

Sans doute serait-elle déjà morte à l’heure qu’il est si Alpha n’était pas entrée dans sa vie. Ou plutôt, si elle n’était pas entrée dans son rêve.

Ce jour-là, elle était assise sur une vieille caisse en bois. Elle regardait dans le vide, épuisée alors qu’elle n’avait fait aucun effort physique. Elle attendait que le sommeil vienne, mais il n’arrivait pas. Puis « elle » était apparue. Comme par magie. Alice ne s’étonna pas de la voir ici ; après tout, elle ne s’étonnait plus de rien. C’était une petite fille qui devait avoir à peu près son âge. Son visage ? A peine en avait-elle détourné le regard qu’il était sortit de sa mémoire. La fille lui parla. Que lui dit Alpha ? Elle n’en avait aucune idée. Que lui répondit Alice ? Elle avait oublié. Comme si leur discussion avait été un rêve éphémère qui s’évanouissait dès le réveil. Mais ce dont elle se souvient, c’est de la boite. Noire et blanche, comme les couleurs d’un jeu d’échec. Elle n’avait pas hésité avant de l’ouvrir.

Et Alice était tombée dans un rêve éternel.

|-Aptitude spéciale (celle qui a attiré l'attention d'Alpha sur vous) : : Allez savoir. Peut-être qu’Alpha cherchait une « camarade de jeu» d’à peu près son âge ? X) Enfin, en aptitude spéciale, on peut toujours citer sa capacité à plonger dans les rêves comme s’il s’agissait de sa propre réalité…et puis il ne faut pas oublier qu’Alice n’a pas toute sa tête.
|-Autres (Quelque chose à ajouter ? Facultatif) : J’suis trop fière de moi *-* c’est bien la première fois que j’arrive à pondre une histoire aussi courte ! Ce soir, champagne !







|-Prénom ? Surnom ? : Je vois mal les gens m’appeler Alice…et pourtant, vous autant que moi allez devoir s’y habituer.
|-Âge ? : 15 ans
|-Heures françaises ou pas ? : Yes sir.
|-Comment as-tu découvert le forum ? : Top site RPG Monster.
|-Un commentaire, une idée ? : Yes sir, mais je l'ai posté dans la partie "le forum a besoin d'aide", c'est quand même mieux =) sinon, le contexte est vraiment sympa et m’a bien attiré, moi qui cherchait un nouveau forum RP où passer du temps ^^
|-Code du Réglement : Validé par The White King. Yep, sir !

/!\ A remplir au fur à mesure de vos rp's /!\
|-Vœu royal (pour les Reines et Rois seulement) : ///
|-Cartes spéciales : ///
|-Victoires solo : ///
|-Défaites solo : /// //